LA THESE (2/2)
Marcel JONQUILLE
Léonard D’ISTANBOUL
Roland De PERPIGNAN
PRÊT PARTEZ
Allez, on saute des lignes et tout. Du premier au dernier, c’est sûr qu’il n’en restera qu’un, mais pour ma part, diurne avant toute chose, j’imagine qu’il est interdit de fumer dans cette pièce ?
A vue d’œil, il est clair que l’important est la croûte et non la miette. Si la poutre t’empêche de bailler, mange le crocobile et tu verras la vie en jaune fushia.
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Bon bain, pas plus un que deux outres, non non, pas plus un. Unis dans la merde, nous fendillons tous chacun de nos illustres cris de gloire, puisque pécorer n’amuse personne, tant pusse-t-ul la créte ouwaouh, trop con !
Le livre m’appelait Jean mais l’enceinte me dit bonjour. HAAA, ça vient.
Chie Dans
La
Fraise
Et
C’est
La
Thèse
Dixit Ponce Pilate (PP vXII,125)
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Que de tulle dis donc ! Mais le diable ou t’est il ? je tétine, tu t’étonnes, cent mille tonnes de merde, mais c’est énorme, tu es un dur à chier quand même, non. C’est alors que les athéniens l’atteignirent, mais ils n’étaient pas là, peut-être ailleurs, qui est-ce, moi ah non, putain toujours les mêmes. Trapette bien tendue d’un esquisse qui ne plait qu’aux autres, pourquoi pas toi, pas toi. Je parle patoi, pas moi, encore. Comme on dirait dans le nord bonjour. Le norbongeour, ou bourgeois, le bourgeon qui sent bien mauvais des pieds très bien.
Je pars à Graphe dans le sud, avec Steffi (ce stef y graphe), t’es grave mon gars, gaji gajo, gaillard qui joue du banjo. Mdr., lol. Pjnm : putain jen nai marre. Trop de la balle du message parlementaire moderne le western qui ne cesse d’évoluer vers un langage sournois qu’est le notre, celui des jeunes qui font du skate et se tapent des trottinette en plein dans la gueule et qui suent du cul a fond les godinettes.
J’irais bien jeter ma couille sur le trottoir, non
La casserole de dieu, plait-il. As de pic je préfere, a vous l’honneur, l’honneur d’etre la, bellotte, la boulette en ballottage, mais qui va gagner, on ne sait pas, quoi tagueule. Qu’est c’qu’elle a ma gueule, ette plait pas. Croc croque du dindon la force quo vadis au daces o dac, ok ! dis toi quand même. Vae victis, verni verdi va chier, quo tempe rus pus cus anus, os ed cursus. Tu suces, oospore. Il est la, il est bien, il est con, ou va-t-il,,,,trop de virgule la. J’’’’trp d’apostrophes, j’t’encule mais un pull, putain quelle virgalirité de merde.
C’est bon ils ont rentré la tondeuse.
Que dire de plus qu’une grotte de Cayenne et d’ardoise mal fondue. Jure le dindon sinon j’espionnerais ton eau douce jusqu’en Afrique noire de malherbes aux enfants du droit chemin. Cette question est plus abjecte qu’une noix de st jacques piquée à la sauce d’agneau.
Le danois darde et son amis la couette. Os Anna qui plus est la gentille perfide aux airs maladroits s’en allant cueillir la citronnelle au fond du jardin. Elle passait outre le vent et la tempête pour qu’enfin les oiseaux frétillent en chœur. Si les champs se noient, alors que la myrtille m’aide à jar ter la douane du malheur.
On arrive, on arrive, t’inquiète pas !
Sans la savoir mon amis la turlutte se frottait contre une paroi bien avide que celle-ci. Dis donc, elle fut naguère un temps soit peu juste à la frayeur du café sucré à la noisette fameuse.
Bien qu’il soit grand et loyal, Toorop l’incroyable se surmené au labeur, haut comme trois pommes et fait comme un rat.
Gentes dames, ayez la bonté s’asseoir votre servitude vers un énième pouvoir malsain assaini de désespoir. Diantre ! Quelle faiblesse. On aurait cru une joie qui se dandinait gaiement dans les solutions du bon vouloir.
Ah ! on pouvait dire du mal de ces bonshommes, bien sûr, personne ne se souvenait du malus trop excessif à mon goût, ah non, ça jamais !
Fredonnant ainsi une paire de chausson, chacun allez et retour à la case départ.
Titillant le goujon dans l’étang donné les circoncis, juju la fourmis sifflotait en disant :
- Mon dieu, qu’elle est belle le pigeonnier
- Doucement malhabile, lança l’autre, il est toujours bon de savoir où commence les bonnes choses et où s’arrêtent les mauvaises.
Conscient de cette altercation peu banale, le gardien des eaux douces passa le relais et s’essuya tranquillement la santé tandis que l’écluse du savoir-faire s’affaissait de plus en plus sans se soucier des conséquences engendrées par un bouleversement causé.
- Non, non ! feigna-t-elle, non, je n’irais pas plus loin, c’est terminus.
Elle n’avait rien compris et s’estima heureuse de parvenir saine et sauve au beau milieu de nulle part où aller sans ses bottes.
Contresens absolu dans ces termes, avouons le mais restons coquet pour une fois que les saltimbanques ne savourent pas leurs bilvesées.
Alors tant qu’on y est on peut sentir la merde tout prés d’ici, et même que j’ai faillit terminer ma chute non loin de là trente pieds sous terre. Grandeur nature avec tout ça. Bonne aventure à la lueur de notre ère dimensionnée en état de marche. Huile à foire pour un tour de plus ou de moins, de toute manière rien y fait. C’est toujours de bonne guerre. Toutefois si j’avais su qu’on mijotasse un bain doux pour ma poire, frère, soit honnête et pries pour nos ôtes.
Engrainé par lui-même aux confins de son âne, Philibert le malin s’empècha tout ou rien, la devise du bon roitelet au bon goùt fraise et frais d’argent perçu des concitoyens cons comme leurs fieffé bourreau d’hôtel.
Les fautes sont corrigées, plus un seul chien ne rôdera dans les parages de ma mémoire tant que la bile se verra draconienne.
Tiens-toi bien la grappe, mon ami.
Toute agapes se détient pour ce qu’elle est et non pas pour ce qu’elle n’est pas, ou plutot pour ce qu’elle pu être et non pas pour ce qu’elle n’eut pu pas ne pas pouvoir être eu ou avoir eu ou pas de pouvoir.
Point d’obstacle ne faut pour en jaillir quelque aubaine du style : « alors oui, euh…, j’ai pêter ? ». Cela n’aura plus aucun sens.
J’aurais pu être plus clair. Mais non.
Etant donné la droiture de certains face à la candeur du reste du monde, la politesse serait la bienvenue, quoique subtile à notre époque.
Gentiment proposée, une absolue raison d’ignorer la loi, c’est moi.
Sage décision, l’ami rondelle. J’ai du bon tabac, dans ma ta-ba-tiè-reeeuuuuu de merde.
Qu’est-c’qu’on dit ? merci.
Au cas où j’aurais du mal à exprimer mes idées, n’hesitez pas à contactez d’urgence le 112 pour les intimes et les numéros uno, pair et impair, manque et passe ton tour, triple et même quadruple, divisibles par un ou par lui-même, multiple de l’église et agent de sécurité, premier et deuxième de la classe auront une récompense, mais seulement en guise d’ultime folie douteuse et absurde, fougueuse et biscornue, tondeuse à gazon, girouette et palefrenier, gendarmes et aux voleurs, justice est demasquée, toute resistance sera inutile, parlez après le bip sonore, appuyez sur la touche un, press any key, sauve qui peut, pierre qui roule n’amasse pas mousse, tempus edax erum, boire un petit coup c’est agréable, dire du mal des autres, roman à l’eau de rose, taquiner la maîtresse, optimiser le rendement, sauver l’horloge de l’hôtel de ville, ramasser quelque peupliers, traverser les océans, mériter la gloire, blamer les insolents, tituber sur les trottoirs de Memphis, rajouter du pain dans son sandwich, résonner les musettes, jouer pour gagner, trainer du pied, braver la cantonade, être au bout du rouleau, joindre une pièce, cliquez sur ce lien, ce lien n’existe pas, cliquez sur ce lien, ce lien n’existe toujours pas, cliquez sur ce … c’est bon on a compris.
L’adresse de Peter Stoczewicz, s’il vous plaît. Je ne l’ai pas sur mon répertoire monsieur, désolé. Ah bon , mais où tète il alors ? ben j’en sais rien moi, vous en avez des belles vous, ça se voit que vous ne savez pas quoi faire de vos journées à tirailler les bonnes demoiselles de ce pays, hein, ça se voit tout de suite que vous n’ètes pas de ceux à qui la faute est permise selon que vous serez puissant ou misérable.
Je n’en puis plus de toute cette friture consensuelle et synallagmatique en cas usuelle de la chose inerte et misogyne, frappée d’une sournoise quiétude idyllique pour le moins vilaine.
On ira annoncer alors sur les collines verdoyante des régions de Provence que les temps sont durs et à l’excés trop ennivrantes.
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Ce monde est completement absurde. Le mal et le bien cohabitent et on ne sait pas dans quel camp se poser. En ce début du troisième millénaire, on a beau avoir des idées claires, elles peuvent être démontées en un instant par des personnes qui ont peut être plus de savoir mais qui à notre époque sont en parfait décalage avec nous Je ne comprend pas ce monde. Je ne vois pas où il mène. Nous allons vers l’apothéose de la bêtise humaine conditionnée par des effets de mode, des religions, des idées politiques, et j’en passe qui nous dépassent. Nous sommes supplantés par des gens qui pensent gouverner le monde mais qui ne contrôlent rien du tout car la force humaine est beaucoup plus puissante que l’on croit, et c’est elle qui dirige l’homme depuis des millénaires.
Contrôler le monde. C’est la première erreur. Il est impossible de mettre tout le monde d’accord, les parties, du moins deux minimum, sont l’essence d’une cohérence omniprésente, compliquée mais essentielle au développement.
Nous cohabitons ensemble pour vivre mais cette cohabitation est vouée à l’échec puisque nous sommes sans cesse en désaccord.
Après des années de réflexion sur cette condition, j’en suis arrivé à la réflexion que ce monde ne peut plus espérer l’utopie existentielle. Les raisons sont simples, la plus persistance est celle qu’un monde complexe et désordonné qui évolue dans un seul sens, celui de l’adversité, ne peut réduire la balance du bien et du mal, et encore moins anéantir la fatalité.
Il fut un temps où la déposition du colonel Lenoir fut dépassée par les événements. Je courus dans mon slip pour retrouver le calme apaisant des portefouilles dorés. Navant, je pense que la conjoncture ne nous a pas laissé de lait. La vache wilfried mache le cash et crache accroche ma crotte.
Signé ma crotte pour titi.
15 itule 2005
Rotule paraclime. Non d’une citrouille bien bouillu, de de de type médiéval, car le centurion vous remercie de votre lacet. Tiens, par hasard, est-ce que vous pouvez réparer mon traitement de texte sur mon ordinateur ? grosse vache, dis donc, non mais c’est que ça déboite, j’en parlerais euh…
Crapule au saumon dérouté par un clafoutis à la rhubarbe, c’est comme si je disais que. Tratalatarte talate, artemis de son prénom jean du jean, le gabi du bon appétit, c’est pour mieux la bouillave mon ami.
L’oursin des prés en coquillage du marais des sables mouvant your body, je parle aussi anglais, j’ai un amis suédois et plénitude en plein dans la merde. L’entartreur, ah ouais je connais bié, l’exorciste vu qu’elle pique des plaques. Un dindon la farce, légionnaire de chez crésus, crénon vin dieu dindou, de justin bridou. Bidouille pas les machins, bordel de capitaine Rotule.
Docteur, mon chien a des ennuis, le savon des ages farouche et de la miam miam que c’est bon. Voyons, je me casse la binette. Papapse j’sais aps, Kheops est dans son yop.
La garde se meurt mais hésite à s’installer dans les bois. Mais j’ai plus trop des piles ! tres vielle cette mascarade, j’en perd mon dédain,
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Je me grattais langoureusement l’oreille avec mon pied. Je pensais à la tente Simone et ses groseilles aux myrtilles. Groseilles et gros orteils ?
Peut importe qui en fut la cause essentielle et de carotte ? Non, c’était décidément trop lointain à l’interstice de la croûte de pied. Vieilles godasses d’antan, c’était le cri de guerre d’une foule (fil folle et baballe en mousse) décidément trop aigri (ou trop pet gris ?).
Mistigri et grignanbule, c’était le mot d’ordre de ma quête, quequette, imparfaite et mystifiante, fiante, à qui je dis merci, si… Si je fume la pipe, c’est que la pipe me fume et si je crois en moi, c’est que moi me croit.
J’avais aboli l’esclavage des petits pois vers l’an 1902 ou peut être 3004, que sais-je, j’ai la mééééémoire qui flannnnncheuuuuh ! jme souviennnnnnnnnnnns plus très bieeeeeeeeeeennnnnn…
Et le pigeon me chia sur le doigt. Manque de bitume ou hume de bite ou peut être même bien heu de mite. Oh la vache ! Trou de mite et mou de tite.
Je sais que cela ne sera pas rigolo et tu ne m’as pas demandé l’autorisation pour piquer mes phrases s’écria la mouche. Je faisais des bonds d’un bout à l’autre de la chaussée bien chaussetée. Qui diantre a mis des ressorts sous mes semelles ? C’est peut être un courant d’air…
Il m’a bien fallu y croire pendant de longues années mais aujourd’hui, c’est décidé, j’arrête le bœuf ! En ce mois septentrional, qui compte donc sept jours, je me dis que la semaine allait passer vite. Si la croûte se décolle, c’est que le pingouin est dans le champ. En chantant, le chaton se mordit la chatte. Ponds moi un glaçon. L’ours polaire dans ma molaire, j’en fis un mollard.
Rechignant à manger mes crottes de nez, je ne sais quel privilège me permit d’acquérir une certaine maturité face à cette crevasse bien vaste.Vase.
Le saint Marcel offrit ce schéma à la reine Pomme lors de leurs fiançailles.
La promise alors conquise s’en mordit la jonquille. Ne niant pas un boulette russe. Ca tombe à pic. Pic pic pic pic pic pic pic pipic !!!!
Et je reboutais car j’avais planté. M’étant circoncié le zguegue, je m’aperçus que.
JE PENSE DONC J’ESSUIE.
Tout tout tout !!! Vous saurez tout sur l’essuie tout ! Non il y a des enfants.
Mais ce sont des chiens
Alors que diable en fusse de leur gamelle ?
Ils mordent la vache qui rit
Et elle rit toujours ?
Non, elle rit… répondit-elle.
Vielles godasses d’antan. Salutapon bien distinguées pour l’alouette endommagée éternelle. Une de plus dira l’autre et saugrenue la girouette du malin aux apostrophes trop tendues ma foi.
Allons donc, j’y pense bien au fond du jarbin dauphinois. Crise étendue en thème astral et grande faveur pour les rois de Sicile. Irons nous aussi loin que kle vent d’outretombe ? Peut être pas mais de toutes les façons je suis un garçon. Traitez nos moutons galleux d’infortune et j’irais paître les hémisphères.
Fais joujou avec les terreurs du bienfondé. C’est BB. Pustule d’ignorance et l’indécis s’en mordra les doigts de fée.
Avec ma machine à écrire, j’écris bien mais j’oublie souvent cette fatalité qui nous perdra tous au confins du putain d’escalator.
J’ai baisé ma mère, ma grand-mère et tous ses aïeux bordel de merde. Oula, la, cru, bah oui. J’en déduis rien. Tu vas trop loin mon gaillard rempli de bonne gaillardise dourmand moi,
Je gringnotte du pain doux sur un lit de coucou. Quant à MOPI, son ardoise gravite autour des chinchillaaaaaaaaaaaaaaa ! Je suis celui là.
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J’ai pété.
Non je déconne.
J’ai pété.
Non je déconne.
Jartu du savoir… ah non ça c’était dans le premier volume si tu t’en rappelles, enculé de ta mère.
Puissante éjaculation dans le con de ta meuf, mais là je pense qu’on part vers trop de mauvaises paroles françaises, français, oyez bien mes paroles car heureux celui qui entend.
Qui a dit : « j’en ai rien a foutre, de toute façon, plus grande est la hauteur, plus petite que mon amie la tortue des eaux malfaisantes et tellement bonne cette pute.
J’en pâtis bien pour les autres mais je pense que nous ne sommes pas apte à connaître la vérité inévitable cette fatalité absurde et incongrue que Faïhka El Baboon, lui-même qui disait qu’on n’était bon qu’à faire caca.
Jalon le mec trop fort cette phrase !
Si j’abuse, faut me le dire parce que si personne me fait la reflexion, ben moi je peux pas savoir si je m’embarque où, si j’y vais mais j’en veux moi des smarties au chocalat tendrement bouché par l’estuaire des forgerons façonnant la béatitude énorme comme un pin de provence.
D’accord, je ferais ça, mais pas plus pour un clou de girofle tondu par ci par là par lui, en moi et en nous, pauvres pêcheurs.
J’ai la carafe bien rempli mais cela n’empêche pas les faibles d’éructer la maladie de haute-rhones-alpes-de-suez.
Buuuuuuuuumummmmmmuppppp ! mauvaise réponse.
Le transit qui foire, alors ça c’est vraiment merdique mais tant pis.
Gredin d’ailette et de poire aux pommes fruites.
J’ai pipé les dés, c’est grace à papi, c’est grave ? t’inquite pas, on va faire en sorte que personne ne le sache et on réparerare les dégats, fils de pute.
Fais chier, vraiment, fait chier, j’en ai ras le cul du trou.
Une fois pour toute, rien ne sert ne partir à point, qui l’eut cru, la guirlande du mal, ballet de molusques, la paix du seigneur, le pays de mon enfance, pisser dans un violon, les points sur les i, la pole position, nique ta mère, la maîtresse en maillot de bain, flipper sa race, donner du fil à retordre, casser sa tirelire, péter un cable, une ambiance de merde, un trou du cul, c’est à baboooord-eeeeeeeee, qu’on cri-eeee, qu’on cri-eeeeeeee, c’est à babord-reeeeeeeeeee, qu’on cri-eee le plus fort. C’EST A TRIBORD-REEEEEEE QU’ON CRI-EEEEE, QU’ON CRI-EEEEE, C’EST A TRIBORD-REEEEE QU’ON CRI-EEE LE PLUS FORT. C’EST A BABORD, MERDE TU FAIS CHIER QUOI !!!!
Ok ok, c’est bon, faut pas t’énerver, man, cool, man.
Brut de pomme aux poires d’api, rotutule dindon, fut en fiote et pisse de molusque. Oh oui bien sur j’en déduis donc que la farce sera forcément en plein axe sur la foire qui nous entoure.
Grouille les soudures pour une fois, tout le temps c’est même en fait, en plus d’une pirouette, c’est la pierre qu’on jette, la premiere du renom d’un dron ?
Zut et reflute de sa mère la putain d’sa race, j’ai encore pêter ma chouille.
Souris un peu sur la photo, t’es pas beau, tout chaud, nananère. Enculé.
Bon, trêve d’asticot, j’ai la barre haute pour un peu qu’elle secoussa les haricots, j’aurais pu juter dans la merde.
J’aurais pu pêter dans la semoule et j’aurais pu siroter tout un fraisier s’il le fallait pour sauver l’univers.
J’aurais pu griller ma clope tranquillement mais y’a un connard à côté qui pullule les nichons. Et alors si j’aurais pu baiser ta mère, alors que dieu m’en conjure d’emoustiller les confitures, pardon.
Yaourt, c’est la merdasse qui s’use, le champignon qu’est trop long, la bouille à besse, la pédale d’eau douce, un pigeon qui s’envole, une girouette en paillette, le berger en casquette, l’esturgean qui bricolle, une cariolle qui décolle, le patron fils de pute, les camion en dentelle, une bellotte tiens pour voir, mon cul ouais t’es trop con, un sucette pour crésus, huit sauterelles pour jean jules qui badine les fourgons, craquelé de partout, jacques a didd de dille, bourgade en plein milieu de nulle part, un trou à rat, des pastille gelée, un machin qui fait ça, jacquy les croissant chaud, fait à la va-vite, la chèvre de monsieur seguin, la chatte de ta meuf, la bandoulière du mal, j’suis mort de rire, pascal, turlututu chapeau batard, ouille j’ai mal aux, via la grande muraille de chintoc, le reportage interdit, l’inédit des rafales, l’amuse-gueule des petits bourgeois, des mille et des cents, du rififi dans l’air, ké vivace s’ti lal, en fin bref.
J’arrive pas à jouir d’une aisance partilière lorsque les méandre du bonheur sont parfaitement indécelables. J’ai parfois même eu cette impression d’être hermétique à la sueur de mon front pour me dire finalemtn que la béatitude reste la meilleur amis de l’omelette.
Jure sa mère ? ah oui, jean louis el fripone
C’est quand qu’on baise ? … ah bon !
J’arrive pas à jouir d’une aisance particuliere lorsque … je l’ai déjà dis.
Je l’ai dis jadis, quelque peu de fois ou la savoie savoure la foi, vois-je une vache ou crois tu savoir quel effroie du-je faire valoir ?
Quel dédain de discondordance du temps partiel, épiphanie.
Allez, une clope là, sérieux j’ai envie, ben ok je la prend, j’ouvre le packaging qui fait office d’allumettes (mouais…) je me suis planté de boite en même temps, ok j’ai la mulette et la ploque, elle fut anmlafé puis téteinte, je recontinul, poubelle, bon, gelé amulé et la mutelle et pa clote.
Prout jadis parfut
Croute de friture aux bourdon du vieux languedoc bien roussi sa race.
Craquelée de partout, ben ouais sa bite qui sens le bon jambon.
La teillère du val de marne, du val de marne, je suçe ton père qui suçe ton grand père qui baise un petit moineau.
Je rigole bien.
Parce que je t’encule bien.
Voyez-vous, ma quequette sus du derche. Car si le caca suinte des deux bouts, la redinguote de l’écossais moule ses couilles.
Ou mouille ses coules, bouille les coudes, ou bien trouille des poules, non non, il trie les poules en fait parce qu’il aime bien manger, particulièrement sur cette table bien charmante et cette damoiselle au bord qui à l’air tellemtn gironde que je la sauterais bien cette sale pute de merde à chiotte. Enfin quoi ! c’est bon hein, c’est la moindre des choses, pfff, encore des gens qui ont des anecdotes trop superficielles.
Tic tac faisait l’horloge, toc toc faisait la boulangère à ma porte, pactole faisant le gens, et clac boule ding dong puc plouc, grosse putain à dire toujours des conneries.
Ah, rien .
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plus d’bidule a perdu ses plumes, qui est là ? le chat, mais pas le chat de ton voisin, le chat perché qui se lèche les boursicules. Non dune dune.
Non de non, non non, none , no mister blague, no no , ou nono tiens c’est bien lui qui a craqué son slip lors d’une partouze entre écureuils à l’orée du bois.
Pourquoi il rammasse les noisettes de, pourquoi il ramasse des noisettes, oh pis merde.
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